Cette fin de semaine a été animé par les largesses que se sont offerts, les maires Front National du Luc en Provence et de Cogolin.

Ces deux candidats, ont, comme les autres candidats, fustigiés leurs concurrents, durant la campagne, donnant des leçons, jetant l'opprobe sur toute la classe politique, locale comme nationale.

Et voilà qu'une fois élu, ces deux là (avant les autres ?), prennent, comme premières décisions, de se garantir des fins de mois, sur le dos des contribuables, en pleines crises économiques. Alors que tout le monde se serre la ceinture... 

Ce qui est d'autant plus frappant, pour ces élus prit la main dans le pot de confiture, c'est la nature de leurs réponses. 

Pour l'un : c'est de la faute aux immigrés. Bien sur, comme ne pas y penser tout de suite. 

Pour l'autre, la mauvaise fois est également de mise. C'est, dit 'il, car sa ville, Cogolin, a plus d'habitants. Cela rend son budget d'élu personnel, plus difficile. Comment ne pas le comprendre ?

Mais surtout, Elsa Di Méo, oublie de dire, qu'il a mit fin à la voiture de fonction, utilisée par le précédent maire. Qui coutait 5 000 euros par mois à la collectivité. Il est donc moral, de s'octoyer, 1250 euros, de frais de représentation par mois. Faites le calcul. 

Voilà, la nouvelle génération Marine Le Pen.